Irrévérencieuses, rythmées et joviales, les Trans Musicales 2018 prennent de l’âge sans aucunes rides. Efflorescence Culturelle a assisté à ce quarantième anniversaire, porté par des concerts que l’on ne se lasse pas de se remémorer
Le constat est sans appel : les Trans Musicales de Rennes continuent de nous faire voyager. Pour avoir un peu de rab’, Efflorescence Culturelle revient en image sur ces quelques jours de festivités. Car si les corps ont bien déserté les lieux, l’âme et l’effervescence du festival sont loin de quitter aussi simplement les esprits.
Deux soirées sous l’œil de notre reporter.

Le vendredi 7 décembre, soirée sous le sens du rythme :
Bruno Belissimo sur la scène de la Greenroom; Hall 4 des Transmusicales . Photo : F.L Le Dj Dox Martin, alias Martin Meissonier, en live sur la Greenrom du Hall 4. F.L Un set époustouflant pour le Dj soixantenaire qui a su motiver la foule au son du d’un Dancehall dont lui seul a le secret. Photo : F.L Le groupe Underground System. Hall 8 des Trans Musicales de Rennes. F.L La chanteuse du groupe, Domenica Fensati à la flûte. Photo F.L Le groupe new-yorkais puise ses inspirations chez des artistes comme Fela Kuti ou James Brown. Photo : F.L L’énergie folle du groupe ne laisse pas indifférent au Hall 8 du parc des expositions de Rennes. Crédit : F.L La chanteuse à l’image de la formation des Underground System : une énergie folle sur scène. F.L Les membres de l’Underground System sont originaire de Brooklyn, quartier de la ville de New-York. Photo : F.L Plus d’un heure de scène époustouflante pour la chanteuse qui finira par monter sur la batterie du groupe. Photo : F.L Lu duo rennais ATOEM, en clôture de la soirée de vendredi, Hall 9 des Trans Musicales de Rennes. Crédit : F.L Guitare et machine faite maison, ATOEM sont des touche à tout. Crédit : Flavien Larcade Antoine Talon et Gabriel Renault, les troublions d’ATOEM en clôture du Hall 9. Photo : F.L
Si le vendredi 7 décembre ne désempli pas question rythme, le samedi 8 est, lui, placé sous l’égide de performances scéniques mémorables :
Émilien Robic, clarinettiste du groupe Fleuves. Une formation protée « sur les danses bretonnes » comme fil rouge. Photo : Flavien Larcade Nâtah Big Band, groupe aux influences de musique folklorique et groove façon James Brown. Crédit : F.L Claviers, cuivres, clarinettes, etc. Nâtah regroupe sue scène 17 musiciens de jazz. Crédit : F.L Un des membres du Nâtah Big Band sur la scène du Hall 8 pour les Trans Musicales de Rennes. Photo : F.L La fougue du groupe Bodega aux Trans Musicales, une énergie sans pareil. Photo : F.L Le groupe new-yorkais Bodega, un roeck pur pour un univers proches des Stooges. Crédit : F.L Arp Frique, projet groovy porté par le néerlandais Niels Nieuborg. Crédit : F.L Les sonorités dArp Frique ont du mal à quitter nos tympans. Crédits : F.L Le public représentait plus de 30 000 personne au Parc Expo durant cette 40è édition selon les organisateurs. Crédit : F.L Le néerlandais Niels Nieuborg, tête pensante du projet Arp Frique. Crédit : F.L Arp Frique, rejoint par Americo Brito sur la scène du Hall 8. Crédit : F.L Le groupe Venice Club réalise une performance tout aussi efficace et grooy que leur prédécesseurs Arp Frique. Crédit : F.L Le bassiste de Venice Club, Louis Sommer. Crédit : Flavien Larcade Le guitariste du Venice. En arrière plan, le créateur et batteur de cette formation au funk vibrant, Maxime Garoute. Crédit : F.L Al Quasar, groupe entre rock psyché et musique orientale. L’un des membres est Amar Chaoui, joueur de darbuka issu du groupe touareg Tinariwen. Crédit : F.L Entre stoïcisme de ses membres et agressivité dans le son, Al Quasar livrent une performance scénique d’une vigueur inégalable. Crédit : F.L Les basses grondent dans le Hall 3 des Trans Musicales, le concert est une claque pour les oreilles. Photo : F.L Simo Bouamar, chanteur de la formation Al Quasar. Crédit : F.L Thomas Bellier, producteur et musicien Franco-américain à l’origine de la formation. Le groupe voit le jour en 2018 à Los Angeles. Crédit : Flavien Larcade Ajate dégage une joie étincelante sur scène. Crédit : F.L Les membres du groupe japonais Ajate. Une merveille de grouve à la James Brown, porté par des instruments japonais faits maisons. Crédit : F.L
58 000 curieux ont décidé de se masser à cette quarantième édition des Trans Musicales de Rennes. Une légère baisse, face au record historique de l’année dernière où 62 000 festivaliers avaient poussé les portes de l’ensemble du festival. Retour en 2019 pour voir de quel côté penchera la balance ?