C’est un matin, assise à la terrasse d’un café qui faisait face à la gare, que j’ai découvert La Féline. J’ai observé les gens passer pendant un quart d’heure, en écoutant son album en silence.
Ce n’est qu’à la fin de celui-ci que j’ai remarqué que toutes mes inquiétudes et angoisses avaient décanté au fond, tout au fond de moi, me laissant face au calme intérieur de mon esprit.