En ce troisième jour de festival, place à une soirée pop-rock sur la grande scène ! À la suite de l’envoûtante Camille, nous avons rendez-vous pour vivre l’aventure malienne de -M-. 14 juillet oblige, une pause feu d’artifice est au programme (aux pieds de la plage s’il vous plaît) ! Enfin, c’est avec l’émouvante prestation de Julien Doré que la soirée se conclue.
Il y a un an, c’est sur le web qu’HolyBrune, personnage atypique, est projeté en avant par sa reprise du titre « Paris Seychelles » de Julien Doré. La jeune française de 25 ans montre alors un bout de son caractère : son interprète féminine sait où elle veut aller, avec un univers bien particulier. Ce sera celui qui lui ressemblera. Il sera glamour, RnB et il détrônera la chanson française. Ou du moins, elle trônera dessus. Au fil des mois, elle s’entourera du talentueux producteur parisien Dabeull, qui l’aidera à personnaliser l’arrangement de ses titres. Les première nappes électroniques naîtront avec le morceau « Le monde est à nous », un clip mis en scène par Sérapis Joël Dirat, directeur artistique, dont les médias auront tu ses dernières collaborations, gargantuesques. Cette dernière vidéo achèvera de placer la grande brune en meme de Rihanna, version indé. Continuer la lecture de HolyBrune : glamour, hip-hop & harmonie→
Julien Doré, c’est la Nouvelle Star par excellence qui a sorti son troisième album Løve à l’automne dernier et qui affiche une tournée SOLD OUT depuis des mois. Il a donc occupé les Folies Bergère à Paris pour trois dates du 13 au 15 mars.
Samedi 15 mars : C’est la dernière représentation de Julien aux Folies Bergère, elle a donc un caractère assez spéciale pour lui comme pour nous.
Arrivée théâtrale, Julien commence avec Viborg, chanson du dernier album. Riche en émotions, cette soirée fut marquée par un Julien Doré multi-casquettes, à la fois disco, félin, bichon, drôle et émouvant.
Il a réussi à mettre debout le public parisien sur 3/4 chansons d’affilé et à le faire danser grâce à Kiss me forever, Whinnipeg ou encore Les Limites. Pourtant, Julien Doré ce n’est pas que ça c’est « aussi quelqu’un qui écrit des chansons à texte » comme il se plaît à nous le dire.
Julien Doré c’est aussi un grand adepte du cache-cache, jamais là où l’attend, s’il n’est pas sur scène sous une boule à facette, il est sur une échelle ou encore sur un balcon avec un mégaphone.
Alors, c’est Corbeau blanc. Sur scène, seul le Ø « o barré » est éclairé, symbole de scarification, de blessure. C’est alors qu’il commence, le public se tait et écoute. La chanson marque la fin du concert, le public est conquis, certains pleurent, d’autres exultent de joie. Toutes ces manifestations de sentiments ne sont que le reflet de ce que l’artiste Julien Doré nous a transmis.
C’est l’heure du rappel avec Mon Apache qui s’inscrit dans la continuité avec un public en état de choc après Corbeau blanc et le concert se termine sur une reprise de Sharko – I need someone avec ses musiciens sur le balcon.