Acteur historique de la scène électronique française, Etienne De Crecy nous a livré samedi 1er décembre, un set énergisant à La Belle Electrique de Grenoble. Retour en photos.
Il approche des 50 000 likes sur Facebook, comptabilise 99 300 followers sur Soundcloud. Il fait aussi partie des 10 finalistes pour le prix Deezer Adami et tout cela à 16 ans à peine. Mehdi Benjelloun est encore au lycée mais son pseudonyme, Petit Biscuit, joue dans la cour des grands. Il nous a accordé un peu de temps pour nous en parler à l’occasion de sa venue à Panoramas.
Après avoir demandé de l’aide à son public pour réaliser un clip , le duo électro Santoré (composé des frères Mathieu et Antoine Gouny) fait son retour musical avec son deuxième EP, intitulé Silverado.
Il y a quelques mois nous avions rencontré L’Âge d’Or, un trio artistique nous proposant, plus que la musique, une expérience audiovisuelle unique. Intrigués, on est allés leur poser quelques questions.
A l’occasion du festival Electrik Campusau Mans, nous avons croisé Paul Régimbeau alias Mondkopf, auteur de musique électronique et aussi du prometteur Hadès. Présent en tant que tête d’affiche de la soirée, il nous a permis de lui poser quelques questions dans l’intimité de sa loge, quelques heures avant d’entamer son DJ set.
Un mardi après midi ensoleillé, nous nous sommes rendu chez un disquaire fraichement ouvert de la capitale, afin de rencontrer Pablo Padovani, la tête pensante de Moodoïd. C’est à l’occasion de la sortie du nouvel EP du groupe parisien, que Label Entreprise s’installe au Walrus où Juniore nous enchante avec un concert. On s’éclipse donc avec Pablo qui accepte de se soumettre à notre interrogatoire.
Après leur premier opus Everybody’s God sorti en 2010, c’est quatre années après que les deux frères et leurs deux cousins, sous le pseudonyme Gush, reviennent avec un second album nommé Mira. Un petit bijou pop et frenchy à 100%. Une marque de fabrique ?
Salué par la critique et nommé trois fois aux Victoires de la musique en 2011 ainsi qu’au prix Constantin (2010),Everybody’s God, premier grand pas du quatuor presque-parisien, avait marqué la scène pop française (avec son superbe titreLet’s Burn Again). Après une longue absence, des réclamations, des déchirements, le groupe revient tranquilou mais d’un coup sur les scènes qu’il avait foulées. Continuer la lecture de Gush : Mira-ge pop→
Régulièrement vous seront proposées des playlists de groupes français. Car oui, ce que nous écoutons nous reflète, et en tendant l’oreille vers ce que ces artistes apprécient nous découvrirons la diversité musicale qui compose ces artistes en herbe. C’est donc en tant qu’enquêtrice que je pars demander à plusieurs artistes leurs musiques du moment. Et quoi de mieux que d’apprendre ce que notre groupe préféré écoute ? Dis moi ce que tu écoutes et je te dirai qui tu es. Attention, surprise !
Cette semaine je vous propose la playlist du groupe Blind Digital Citizen !
J’étais tombée sous leur charme après le live report d’Adrien à la Maroquinerie, me voilà à leur demander leur playlist de la semaine. Blind Digital Citizen est mon gros coup de cœur de la semaine et il est très probable que je vous reparle d’eux prochainement soit via une chronique ou encore une interview, petit clin d’œil au groupe qui lira ce papier.
Bref, j’aimerais te dire, cher lecteur, que si tu te mets à écouter BDC tu ne peux que hocher la tête de satisfaction auditive ou alors fermer la page d’écoute car tes oreilles te l’auront demandé. Mais je vous prie de les ménager, écouter BDC c’est presque une expérience, comme aller dans l’espace pour la première fois, déjà que ça n’arrive pas tous les jours. Difficile de décrire Blind Digital Citizen, j’ai cherché les références que je pouvais leur attribuer. En vain. Je connais peu de groupe qui produit cette pop distillée avec des samples qui insufflent à la fois un rythme presque hip-hop aux créations mais aussi un rythme spatial, flottant, très léger et certainement pas lourd lors de l’écoute. Pour se faire une idée, BDC c’est un peu le genre de bande dessinée où tu as un paysage flou, abstrait mais en fin de compte parfait. Et tu rajoutes à ça des hommes qui se servent de cette nature pour jouer en harmonie avec son milieu. Ou peut être que l’harmonie que je leur trouve est simplement due à mon interprétation personnelle. Ce qu’il en est, c’est que Blind Digital Citizen est très certainement le groupe d’électro/pop le plus bizarre mais le plus créatif que j’ai été amenée à écouter en ce moment.
Ils seront de passage dans des festivals français d’importance, je pense à Panoramas en avril prochain, sans oublier leur invitation au festival des Francofolies en juillet prochain. L’occasion pour eux, qui sait, de se familiariser avec plusieurs sortes de publics qui leur rendront la monnaie de leur pièce comme il se doit.