Oui, les festivaliers restent fans des Vieilles Charrues. Si non à quoi bon revenir chaque année ? Au fil des années et des micros tendus à la population du festival, on remarque d’ailleurs que les festivaliers font preuve d’une fidélité à toute épreuve pour le festival carhaisien. La preuve, cette année, ils étaient 280 000 sur le site de Kerampuilh. Autant que l’année dernière.
Pour être au plus près de l’ambiance du festival et des campeurs, Efflorescence Culturelle a promené son micro tout au long des trois jours du festival des Papillons de Nuit.
Quelle est la tenue indispensable pour La Route du Rock ? Sous l’objectif de notre photographe Lia Goarand, les festivaliers se remémorent les anecdotes de cette édition.
Le Reggae Sun Ska, c’est un peu le festival de reggae en France : on s’attend à voir des dreadlocks, des jeunes, des grosses cigarettes… et quelques autres gros clichés. A l’occasion des vingt ans du festival, on est allé à la rencontre de festivaliers finalement pas si jeunes et pas tous si accro au reggae et aux dreads.
Les Vieilles Charrues réservent à chaque édition leurs lots d’artistes, de bénévoles, mais aussi et surtout de festivaliers. Cette année encore, ils n’ont pas manqué l’occasion de rappeler que Carhaix accueillait le plus grand festival français. Ils étaient 280 000 à fourmiller de scène en scène. Par leur déguisement, leur histoire ou leur fonction sur le site, tous, à leur échelle, auront marqué l’édition 2017. Portraits.
On se souvient encore du concert de Boulevard des Airs l’année dernière, mais aussi de Stromae, Polnareff, Christine and the Queens, IAM, Yannick Noa, etc. Tous sont passés au P2N ! Alors cette année en compagnie de Renaud, Feder ou encore Vianney, l’ambiance ça donné quoi pendant trois jours ? On vous raconte ça.
Nous étions à Solidays cette année et, comme d’habitude, nous avons rencontré les festivaliers pour mesurer l’ambiance du festival. Festival parisien qui a indéniablement l’un des meilleurs publics.
Sous le nom un peu barbare de Soviet Suprem se cachent (sous des pseudos) Sylvester Staline et John Lénine. Ce duo complètement déjanté vise à prôner l’hégémonie fictive de l’URSS.
Ironie du sort, la mention – un poil impertinente – « ça va durer encore longtemps ? » écrite en lettres noires sur les bracelets jaunes des festivaliers d’Aucard de Tours semble se retourner contre ses créateurs : visiblement non, ça n’a pas vraiment duré cette année. Mais on vous parle quand même du festival, parce que les histoires les plus courtes sont toujours les meilleures !