
Julien Doré, c’est la Nouvelle Star par excellence qui a sorti son troisième album Løve à l’automne dernier et qui affiche une tournée SOLD OUT depuis des mois. Il a donc occupé les Folies Bergère à Paris pour trois dates du 13 au 15 mars.
Samedi 15 mars : C’est la dernière représentation de Julien aux Folies Bergère, elle a donc un caractère assez spéciale pour lui comme pour nous.
Arrivée théâtrale, Julien commence avec Viborg, chanson du dernier album. Riche en émotions, cette soirée fut marquée par un Julien Doré multi-casquettes, à la fois disco, félin, bichon, drôle et émouvant.
Il a réussi à mettre debout le public parisien sur 3/4 chansons d’affilé et à le faire danser grâce à Kiss me forever, Whinnipeg ou encore Les Limites. Pourtant, Julien Doré ce n’est pas que ça c’est « aussi quelqu’un qui écrit des chansons à texte » comme il se plaît à nous le dire.
Julien Doré c’est aussi un grand adepte du cache-cache, jamais là où l’attend, s’il n’est pas sur scène sous une boule à facette, il est sur une échelle ou encore sur un balcon avec un mégaphone.
Alors, c’est Corbeau blanc. Sur scène, seul le Ø « o barré » est éclairé, symbole de scarification, de blessure. C’est alors qu’il commence, le public se tait et écoute. La chanson marque la fin du concert, le public est conquis, certains pleurent, d’autres exultent de joie. Toutes ces manifestations de sentiments ne sont que le reflet de ce que l’artiste Julien Doré nous a transmis.
C’est l’heure du rappel avec Mon Apache qui s’inscrit dans la continuité avec un public en état de choc après Corbeau blanc et le concert se termine sur une reprise de Sharko – I need someone avec ses musiciens sur le balcon.
LØVE