Pas facile de dormir au Pont du Rock : Avec les « promenades nocturnes » des campeurs, les chansons des plus fêtards, les conversations endiablées des « non-dormeurs »… La nuit est courte au festival !
On « apprend » à se connaître : Ambiance chaleureuse et solidaire, le tutoiement, l’entraide, le partage… s’imposent entre les festivaliers. On rencontre donc des Clément, des Maxime…
D’autre part, on a pu retrouver des « têtes familières » ce qui est vraiment sympa ! Pour ma part, des camarades de classe étaient présentes. Enfin, certains font la connaissance d’artistes qui peut être un véritable coup de cœur musical.
Nouvelle ville : Découverte d’un nouveau centre-ville, d’un nouvel endroit : Malestroit ! Venue des années auparavant, j’ai pu redécouvrir cette charmante ville sous la pluie… Avec ses ponts, son canal et son bourg accueillant, c’était un superbe endroit pour ce week-end des plus festifs.
Transport : Venant de Vannes, nous avons opté pour les transports en commun c’est-à-dire le car. Partant de la gare SNCF de Vannes, il nous a conduit à Malestroit pour 2 € en 45 min ! C’est sympa, l’accès est plutôt pratique et accessible à tout le monde. Personne n’est exclu.
Dîner : Pour la plupart des festivaliers avant le dîner/picnic, c’est pause apéro ! Que se soit un pique-nique au bord de la tente, une barquette de frites, un croque-monsieur ou un sandwich au festival, il y en a pour tous les goûts.
Ultra ce week-end : 2 jours que je ne suis pas prête d’oublier ! Ce week-end était une super sortie entre amis, on s’est bien amusé, nous avons eu aussi la joie de faire notre premier camping de festival ainsi que notre premier Pont du Rock (et ce ne sera pas le dernier !). On a pu fêter l’été sous le soleil et la pluie ! On a vraiment été ensorcelé par la musique et l’ambiance de ce festival !
Reportage et interview : Étant avec Lucile, la créatrice du site, j’ai pu me rendre à deux interviews : celle des Popopopops ainsi que celle des Ogres de Barback.
The Popopopops : deux des quatre membres étaient présents, rencontre dans le cadre d’une interview originale où ils ont pioché des petits papiers avec des questions, j’ai donc pu filmer les réponses.
Les Ogres de Barback : Avec Fredo, le chanteur et principal compositeur de cette fratrie présente, interview bien sympathique et terre à terre.
On aime moins les douches et WC: Pour la propreté très restreinte au niveau des toilettes et au long temps d’attente pour les douches, voici l’inconvénient des festivals. En effet, malgré des toilettes sèches au festival plus écologiques, au camping l’hygiène était peu présente. Les douches, quant à elles, étaient peu nombreuses puisqu’elles se trouvaient dans les vestiaires d’un terrain de foot. Par conséquent, il fallait attendre pour pouvoir utiliser ces douches au nombre de huit environ même si elles étaient collectives.
Camping: Notre logement pour ces deux jours était…la toile de tente !
Installées sur un terrain de football, un nombre incalculable de tentes étaient plantées sur cette herbe. Principale présente : la tente Quechua, pratique à installer mais plus difficile à démonter. C’est pourquoi une tente plus ancienne peut être utile… enfin parfois.
Malgré un confort restreint face à notre chez-nous, la tente protège de la pluie.
En outre, qui dit tente dit p’tit déj au lit !
Kavinsky…: Différents artistes se produisaient sur les scènes du Pont du Rock. J’ai beaucoup apprécié le talent de Wax Tailor qui a mêlé musique et cinéma, l’humour décalé de Stupeflip, le bon rythme de The 1969 Club ainsi que l’ambiance lors du passage de Kavinsky concernant le vendredi. Quant au samedi, j’ai particulièrement aimé l’énergie des Popopopops, le concert de Lescop, la pétillante Olivia Ruiz, le spectacle très rock des anglais The Struts (dont le chanteur a un air de ressemblance avec Michael Jackson) et pour finir l’entrainement des Ogres de Barback. Tous les artistes ne peuvent pas nous plaire, pour ma part, il s’agit d’Arno.
Pauline Guillas