Le groupe norvégien au nom imprononçable était de passage à Metz, mardi 26 novembre, et depuis le temps que j’écoute ce qu’ils font, j’ai sauté sur l’occasion pour couvrir ce concert.
Mais avant ça, parlons de la première partie, un groupe originaire de Metz qui a assuré la première partie et qui se nomme Portland.
Une découverte vraiment sympathique, des morceaux comme Deezy Daisy ou You Don’t Know Me encore plus vivants en live que sur leur EP (que je me suis empressé d’écouter en rentrant) et on note aussi une chanteuse à fond ce qui ne peut que faire plaisir !
Le trio qui faisait un retour à la maison a réussi à bien faire bouger la salle, et j’espère qu’on les reverra bientôt. Si on devait retenir qu’un seul un seul défaut ça serait des voix pas assez fortes sur quelques titres, mais mettons ça sur le compte d’un problème technique.
Après 20 minutes d’attente, un des membres de Kakkmaddafakka est arrivé sur scène avec un énorme drapeau à l’effigie du groupe, suivi par le reste de la troupe, ça commence tout de suite très fort et le public suit rapidement.
Le groupe norvégien arrive à chauffer très rapidement la salle malgré le froid dehors (et chez eux).
Kakkmaddafakka à joué de nombreux morceaux entrecoupés de temps en temps par quelques mots (et même du français) au public. On appréciera encore plus qu’ils ne se soient pas limité à leur dernier album Six Month is a Long Time, mais qu’ils aient aussi fait bouger la salle avec des titres plus anciens comme Is She ou Dro So triés de Hest, « l’un de leur meilleurs albums » selon eux.
J’espérais entendre Restless en live, tellement authentique je n’ai pas été déçu du tout sur ce point, c’était parfait.
Ceux qui étaient là retiendront bien sur le mec au synthé, Jonas Nielsen, par moment presque en transe.
Enfin le concert se termine le retour sur scène de Stian Sævig, (celui qui n’est pas blond, vous savez) qui commence à jouer seul un morceau en acoustique et petit à petit le reste du groupe revient pour un dernier long morceau qui sera comme tous les autres, très énergique !
Si un de ces deux groupes passe près de chez vous, n’hésitez pas à faire sonner votre porte-monnaie, ce conseil est sans conséquences, vous verrez.
J’en profite pour remercier Les Trinitaires pour l’accréditation !